Les Amis de Garabandal
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Le Grand Miracle aura lieu moins de 12 mois après l'Avertissement et sera annoncé par Conchita huit jours avant. Il doit se produire un jeudi soir, à 20 h 30, entre le 8 et le 16 du mois de mars, avril et mai. Lors d’une interview de Conchita sur une chaîne de télévision irlandaise à New York, le présentateur lui a demandé si elle pouvait révéler la date du Miracle, elle a répondu : «Qu’il aurait lieu entre le mois d’avril et juin (in between the month, entre les mois) et qu’elle en donnera la date exacte 8 jours avant.»
Comme le mois de juin n’avait jamais été évoqué par elle auparavant il est possible qu’il se produira en mai.
Chose capitale, cette date Conchita l'a confiée à la Congrégation du Saint-Office, en janvier 1966, pour qu'elle soit communiquée au Saint-Père.
Il sera beaucoup plus important que celui du soleil à Fatima; il ne sera visible dans le ciel, que de Garabandal et des montagnes environnantes. Il se produira en la fête d'un jeune martyr de l'Eucharistie et durera environ un quart d'heure.
L’avertissement qui se sera produit auparavant aura purifié les cœurs de ceux qui auront bien voulu se convertir, et Dieu nous donnera la force nécessaire pour en supporter la vision.
Après le Grand Miracle il restera aux Pins un signe visible de jour comme de nuit. On pourra le photographier mais pas le toucher. Probablement un signe similaire à celui qui se trouvait au-dessus le l’Arche d’Alliance.
Attention ! Certains font courir le bruit que le Miracle sera vu de tous les sites dans le monde entier où la Vierge est, ou serait apparue ; que partout les malades seront guéris et les incroyants convertis. Non, ce n’est pas ce la Vierge a dit. Déjà à Fatima la Vierge avait spécifié : «Venez ici le 13 de chaque mois et le sixième mois Dieu fera un grand miracle.» Ce miracle ne s’est produit qu’à Fatima, et non dans d’autre lieux d’apparitions.
D’ailleurs à propos de Garabandal La Très Sainte Vierge a dit : «D'aussi loin et difficile que ce soit, vous arriverez à temps. Venez nombreux avec vos malades et vos amis : Les malades seront guéris et les incroyants convertis».
Qui sera guéri ? Lorsqu’on a demandé à Conchita, est-ce que tous les malades seront guéris? Elle à répondu : «La Vierge m’a dit : les malades seront guéris.»
Le jour du Grand Miracle il sera donc préférable de se trouver à Garabandal plutôt que dans un hypothétique lieu d’apparitions vraies ou fausses comme Medjugorje par exemple. Il faut savoir faire la différence entre ce que l’on voudrait qui se fasse... et ce qui se fera !
Par ailleurs, il est possible que le jour du Grand Miracle il y aura moins de monde que prévu à Garabandal, car l’Avertissement ne convertira pas tout le monde. Même si logiquement c’est bien sûr Dieu que nous choisirons, il y aura un certains nombre de révoltés qui opteront pour le démon et l’enfer. Comment ces malheureux en sont-ils arrivés à faire ce choix ?
En fait, lorsque nous venons au monde, nous ne sommes que des innocents, et il nous est difficile de contrôler ces forces négatives qui petit à petit, jour après jour entament, déchire, diminuent et ébranlent notre belle innocence. Pourtant nous sommes tous né avec le pouvoir de choisir, et notre façon de mettre à mal notre potentiel d’innocence ne tient qu’à nous. La déception peut mener à une vie de colère et de malveillance, et si nous descendons plus bas encore, on peut devenir aveugle à la douleur qu’on inflige aux autres, ou à nous-mêmes ! Mais on peut choisir aussi une autre route, et malgré la violence rencontrée en chemin, et les moments de désespoir, on peut choisir d’écouter une autre voix : celle de Dieu.
EN ATTENDANT LE GRAND MIRACLE
Des voix pontifiantes s’élèvent parfois pour nous rappeler que Conchita, une des quatre voyantes de Garabandal, est la seule à connaître la date du Grand Miracle et que le fait d’essayer de trouver cette date revenait à usurper son rôle.
Faux ! Il n’est pas question de ça ; Conchita nous donnera la date du Miracle huit jours avant qu’il ne se produise. Mais la Vierge Elle-même ne nous a-t-Elle pas donné des point de repères en ce qui concerne cet heureux événement : Le Grand Miracle se produira entre le mois de mars, avril ou mai, un jeudi soir à 20 h 30, le soleil luira encore ; il coïncidera avec la fête d’un saint de l’eucharistie et un heureux événement dans l’Église ; il sera, moins de douze mois, précédé de l’Avertissement.
Si La Très Sainte Vierge voulais nous empêcher de deviner la date du Miracle, Elle ne nous aurait pas donné toute ces indications ; Elle nous aurait simplement demandé de considérer Ses deux messages et de patienter. Essayer de trouver cette date est une sorte de sainte impatience en attendant cette rencontre avec le Ciel. Bien sûr, les malades y trouvent une grande espérance et si à la fin des apparitions en 1965 on avait su que le Miracle ne se produirait pas, au plus tôt avant 2018, soit plus de 57 ans après la première apparition de Saint Michel, le 18 juin 1961 et celle de la Vierge, le 2 juillet 1961, beaucoup se seraient découragé.
Bien évidemment, ces précisions ont également été données pour que le jour où ces événements arriveront, nous ne soyons pas surpris et que tout le monde sache qu’ils étaient prophétisés.
Le Miracle doit se produire le jour de la fête d’un martyr de l’Eucharistie.
Qu’est-ce qu’un martyr ? C’est quelqu’un qui est mort ou a enduré des tourments pour la religion chrétienne, des souffrances du corps et d’esprit, d’amour envers le Christ.
Alors examinons quelques saints qui sont souvent évoqués en relation avec le Miracle ; même si le Bon Dieu va peut-être nous en dévoiler un auquel nous n’avons pas pensé ! Plusieurs noms reviennent souvent, notamment ceux de Saint Tarcisius, Saint Pancrace et Saint Hermenegild, mais seuls les deux derniers pourraient être pris en considération. A moins que la date de Saint Tarcisius soit modifiée encore une fois, car à l’origine sa fête coïncidait avec la fête de l’Assomption de Marie, le 15 août, raison pour laquelle elle a été repoussée au 26 août.
Saint Hermenegilde fêté le 13 avril. Or en 2018 le 13 avril tombe sur un vendredi. Mais comme le Miracle doit se produire un jeudi soir à 20:30 et qu’à ce moment là nous serons déjà dans la vigile du vendredi, il se pourrait que ce soit le soir du Miracle.
En l’an 586, à Tarragone en Espagne, le fils du roi arien des Visigoths Léovigild, fut converti à la foi catholique par l’évêque saint Léandre et ne se laissa fléchir ni par les faveurs ni par les menaces de son père, qui, irrité, le priva du règne et le fit enfermer dans une étroite prison. Au moment des fêtes pascales, ayant refusé de recevoir la communion des mains d’un évêque arien, il fut frappé à mort d’un coup de hache, sur l’ordre de son père. Trois ans après sa décapitation, la nation wisigothique revenait elle aussi à la foi de l'Église romaine.
Ceci devrait faire réfléchir tous ceux qui reçoivent la Communion dans la main et distribuée par des laïcs.
Le 13 avril 2017, c’est aussi le jeudi Saint et le dimanche 16 avril 2017, le jour de Pâques catholique et orthodoxe. Ces deux fêtes ne concorderont plus avant 2025 et comme le Miracle doit coïncider avec un événement heureux dans l’Église, il se pourrait qu’il s’agisse de la réunification de ces deux Églises séparée depuis 1054.
Sur le plan astronomique, on constate que Jupiter, qui dans la sainte astronomie représente le Christ, sera dans le ventre de la constellation de la Vierge et ce même jour la Lune sera aux pieds de la Vierge. Cette configuration astronomique ne s’est jamais produite depuis 1922 et ne reproduira plus avant 2200. De plus, Uranus, qui toujours selon la sainte astronomie représente l’Église, sera en conjonction avec le Soleil qui représente Dieu.
Mais pour information, voyons quand même brièvement qui sont ces deux autres Saints et leur histoire.
Saint Tarcisius est fêté le 26 août. Il est celui à qui on pense le plus car Conchita aurait évoqué quelqu’un qui lui correspond. Mais la date ne correspond pas et pour l’instant il ne rentre donc pas en ligne de compte pour la date du Miracle.
Saint Tarcisius, pour porter la sainte communion à un malade, protégeait sous son manteau les Saintes Espèces, le corps du Christ, et refusa de les donner à des enfants païens qui voulaient les profaner. Ils le lapidèrent et s'enfuirent. Vint à passer un soldat chrétien qui emporta le cadavre. Il fut enseveli dans les catacombes.
Le sarcophage de saint Tarcisius est utilisé comme autel de la basilique St-Tarcisius de Rome. L'église en a fait le patron des enfants de chœur et il fut donné en exemple à la jeunesse catholique jusqu'au XXe siècle.
Le 12 mai l’Église fête Saint Pancrace, un des nombreux martyrs de la persécution de l’empereur Dioclétien, qui gouverna l’empire romain de 284 à 305.
Prochaine concordance avec le jeudi qui pourrait convenir : 12 mai 2016.
Mais est-ce un martyr de l’eucharistie ? Dans la mesure où l’on considère l’eucharistie comme le centre de la vie de tout catholique, on est en droit de répondre par l’affirmative.
Saint Pancrace de Rome est né en 289 AD et mort en 304 après Jésus-Christ. Dans l’Eglise antique Pancrace représenta un modèle d’adolescent qui donna sa vie par amour de son Seigneur, restant fidèle au baptême qu’il avait reçu depuis peu. Il était né en Phrygie (région historique de l’actuelle Turquie occidentale) de Cledionuse et Cerada, tous deux nobles, qui professaient la religion païenne, dans laquelle ils éduquèrent aussi leur fils. Pancrace, orphelin en jeune âge, fut confié aux soins de son oncle Denis, élu administrateur des biens patrimoniaux que la famille du neveu possédait en Phrygie et à Rome. Oncle et neveu se déplacèrent très tôt dans la ville impériale, où une communauté chrétienne vivait intensément la foi dans le Seigneur crucifié et ressuscité.
Denis et le jeune Pancrace entendirent parler de la nouvelle religion et demandèrent d’en faire partie. Ils se soumirent à une catéchèse absorbante et, dans une solennelle veillée pascale, ils furent admis dans la communauté chrétienne avec le baptême, qui leur fut administré très probablement par le pape de l’époque, St Marcelin. En ce temps-là sévissant, sur la jeune Église de Rome, la persécution de Dioclétien, la plus grave et la plus longue de toutes : une vraie bataille entre christianisme et paganisme. Pancrace, déjà animé par le désir du martyre, fut arrêté et conduit devant le juge, qui lui demanda qui il était. L’adolescent répondit fermement : «Je m’appelle Pancrace et je suis chrétien». Le juge essaya de toutes les façons de l’induire à un acte de culte vers l’empereur. Le jeune Chrétien fut inflexible: il n’aurait jamais renoncé au Christ pour les faveurs d’un homme, fût-il l’empereur de Rome lui-même.
Alors le juge fut obligé d’appliquer la loi et ordonna que Pancrace fût décapité hors de la ville, sur la voie Aurélia. La pie matrone romaine Ottavilla prit le corps du martyr et le fit enterrer dans le cimetière de Calepodio. Les persécutions contre l’Église terminées, sur la tombe du jeune martyr fut érigée une basilique, où la communauté chrétienne de Rome se rendait le dimanche après Pâques pour présenter au Saint les nouveaux baptisés, qui déposaient sur son autel l’habit blanc adossé au baptême. Ils le priaient de pouvoir imiter son courage et sa foi dans le Seigneur ressuscité.
Sainte Imelda, également fêtée le 12 mai... également ?
Madeleine Lambertini (qui deviendra Imelda en religion) était la fille du comte Egano Lambertini et de Castora Galuzzi, son épouse. Elle est née en 1322 à Bologne.
Toute petite déjà, elle était d'une grande piété, et se fabriquait de petits autels devant lesquels elle priait longuement. Elle avait une très grande admiration pour Agnès de Rome. Son plus cher désir était de recevoir la Communion. Mais à cette époque, les enfants n'étaient autorisés à communier qu'à partir de l'âge de 14 ans.
Par ailleurs, elle demandait instamment à ses parents de lui permettre d'intégrer le couvent des Dominicaines de Bologne qui accueillait des enfants, lesquels n'étaient assujettis qu'à une petite partie de la Règle. Ils acceptèrent, et Madeleine entra chez les novices du couvent de Valdipretra à l'âge de 10 ans, elle y prit le nom d'Imelda.
Là, bien que n'y étant pas obligée, elle suivit la Règle avec dévotion et application, suppliant les religieuses et son confesseur de la laisser communier, ce qu'ils refusèrent, puisqu'elle était loin d'avoir l'âge requis.
Remplie de tristesse, un jour l'enfant se rendit à la chapelle avec les sœurs. Au moment de la communion, une hostie s'éleva hors du ciboire et vint s'arrêter au-dessus de la tête d'Imelda. Le prêtre s'approcha avec la Patène et la recueillit avant de la donner à l'enfant, stupéfié par le prodige dont il était témoin.
Imelda se prosterna, et quand ses sœurs vinrent la relever pour l'entraîner hors de l'église, elles la trouvèrent morte, le visage extatique.
Les restes, incorrompus, de la bienheureuse Imelda Lambertini, se trouvent dans l'église Saint Sigismond à Bologne.
Elle a été béatifiée en 1826 par le Pape Léon XII, et a été déclarée Patronne des premiers communiants en 1910 par le Pape Pie X qui, cette année-là, décréta que les enfants pouvaient faire leur première communion à un âge plus précoce.
Avant le Miracle il y aura un événement qui fera que beaucoup ne croiront plus à Garabandal, et ce désistement n’aura rien à voir avec les fait que les événements tardent à venir. Il s’agit là très probablement de la mort de Joey Lomangino, l’aveugle qui devait recevoir des yeux neufs le jour du Miracle et qui est décédé le 18 juin 2014.